-
Actualités
Avant de reprendre notre liste de questions restées sans réponse, il nous est apparu intéressant de publier l'interview d'un habitant de la Commune, que nous appellerons Bill
Blogg: Bill vous avez souhaîté vous exprimer et nous faire partager votre préoccupation concernant L.amuz-mania De quoi s'agit-il ?
Bill: le L.amuz- mania est une forme d'obsession qui touche insidieusement et....durablement des personnes pourtant......normalement constituées , je tiens à signaler sa dangerosité
Bogg: Comment se manifeste cette dangerosité ?
Bill: Les premiers symptomes se traduisent ( sans raison particulière ) par une idée fixe qui ne vous quitte plus, vous considérez comme secondaire tout ce qui n'a pas rapport avec cette idée . Vous vous créer des exigences, des impératifs, c'est une fuite en avant perpétuelle
Blogg: Y-a-t-il des répercussions sur l'extérieur, l'environnement ?
Bill : Oui , pour se crédibiliser soi-même, vous vous donnez comme mission de faire partager votre "idée" au plus grand nombre, notamment en vous introduisant dans un maximum de structures
Blogg: Ceci nécessite des moyens financiers notamment, comment les obtenir ?
Bill: Très simplement, vous créez une entité que vous imbriquez dans un organisme officiel, ce qui permet d'obtenir une reconnaissance, et .......des subventions pour satisfaire cette "idée fixe"
Blogg: Ce n'est pas bien grave, qui n'a pas sa petite " marotte " Est-ce un problème ?
Bill: Dans le cadre d'une implantation dans des structures, les exigences qui se réalisent se font aux dépens d'autres projets relégués au second plan. Rien ne se fait dans certains domaines sans une implication active une référence à cette obsession . La conséquence, c'est l'étouffement pour toute tentative qui se veut indépendante
Blogg: Vous avez réussi à vous sortir de cette spirale propre au L.amuz-mania , que conseillez vous à ceux et celles qui sont dans ce contexte ?
Bill : Lorsque j'ai compris les dangers de ce L.amuz- mania pour la communauté dans les domaines de l'initiative, de l'écoute, de l'ouverture d'esprit, et après une analyse objective de tous ces paramètres, je me suis retiré. Pour les .......victimes, ce n'est pas facile, car le temps ne travaille pas pour elles, simplement ces personnes doivent regarder autour d'elles, comparer, analyser, demander des bilans, le faire savoir ,et refuser d'aliéner l'avenir ! ! !
Nota : Cet interview est le reflet de nombreuses personnes
A bientôt: nous reprendrons nos propos sur " questions.....sans réponse " Edouard
-
Commentaires